mardi 12 juillet 2016

Réfugiés climatiques



Réfugiés climatiques.

Les premiers réfugiés climatiques étaient identifiés, il y a peu, sur l’île de Kutubdia, que la montée des eaux, liée au réchauffement climatique, devait engloutir à brève échéance.

Le Mont Champot avait précisé, à l’époque, l’éventualité des effets d’une cause concomitante, celle de l’évolution récente de la subduction oblique indo birmane sur la « Ride 90° Est » sur laquelle se situe précisément l’île de Kutubdia.
Et accordait un crédit d’autant plus important à cette éventualité que les marégraphes contigus à cette île attestaient d’un niveau des eaux particulièrement stable à cet endroit.

C’est aujourd’hui un inévitable séisme extrêmement puissant qui menacerait de coûter la vie de la quasi-totalité de la population du Bangladesh, soit 140 millions de personnes, selon une étude publiée dans le journal Nature Géoscience.
Les tensions accumulées par le déplacement régulier des plaques depuis 400 ans devrait entraîner un séisme d’une magnitude supérieure à 9.

Contrairement à certaines déclarations imprudentes, ce mouvement des plaques tectoniques n’a pas de rapport avec le réchauffement climatique.

L’ampleur des sommes engagées par les pays industrialisés, dans le but de préserver la planète, n’est assurément pas compatible avec toute approximation des constats, manque de réalisme des objectifs ni dogmatisme concernant les moyens retenus.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire