Réfugiés climatiques.
Les premiers réfugiés climatiques étaient identifiés, il y a
peu, sur
l’île de Kutubdia, que la montée des eaux, liée au réchauffement climatique,
devait engloutir à brève échéance.
Le Mont
Champot avait précisé, à l’époque, l’éventualité des effets d’une cause concomitante,
celle de l’évolution récente de la subduction oblique indo birmane sur la « Ride 90° Est » sur laquelle se
situe précisément l’île de Kutubdia.
Et accordait un crédit d’autant plus important à cette
éventualité que les marégraphes contigus à cette île attestaient d’un niveau
des eaux particulièrement stable à cet endroit.
C’est aujourd’hui un inévitable séisme extrêmement puissant
qui menacerait
de coûter la vie de la quasi-totalité de la population du Bangladesh, soit 140 millions de personnes, selon une
étude publiée dans le journal Nature Géoscience.
Les tensions accumulées par le déplacement régulier des
plaques depuis 400 ans devrait entraîner un séisme d’une magnitude supérieure à
9.
Contrairement à certaines déclarations imprudentes, ce
mouvement des plaques tectoniques n’a pas de rapport avec le réchauffement
climatique.
L’ampleur des sommes engagées par les pays industrialisés, dans
le but de préserver la planète, n’est assurément pas compatible avec toute approximation
des constats, manque de réalisme des objectifs ni dogmatisme concernant les
moyens retenus.
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