Environnement : les effets collatéraux de l'intermittence
La Conférence des Parties COP21 2015 doit réunir à Paris les décideurs du monde entier pour convenir des mesures nécessaires face à « l’urgence climatique ».
Des centaines de milliards de dollars
sont en jeu pour prétendre « contenir » le réchauffement planétaire sous
la limite de 2° d’ici 2100. La réduction des émissions de gaz à effet
de serre est retenue comme moyen privilégié. Le CO2 est désigné
principal responsable. Une quantité d’argent public d’une ampleur
inédite est programmée.
Le manque de réalisme de la loi sur la transition énergétique
Dans ce dispositif, quelle place
raisonnable conférer aux énergies renouvelables intermittentes ?
L’évaluation de trois paramètres ne peut être évitée :
- La pertinence de la cible privilégiée retenue, qu’est le parc électrique français, alors qu’il n’émet pas de CO2.
- L’incapacité avérée des énergies intermittentes à réduire, en Allemagne, ces émissions.
- L’ampleur des effets collatéraux du
développement de l’intermittence en regard de la projection du système
électrique européen dans un avenir incertain, couteux et rétrograde.
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