Il est aisé d’écrire l’histoire après qu’elle ait eu lieu, même
s’il est trop tôt pour tirer le bilan de la gestion française de la
pandémie qui nous frappe.
Mais on peut regretter l’absence d’une vision à long terme de la communauté internationale sur la façon de gérer une telle crise qui semble l’avoir prise au dépourvu. En effet, on connaît parfaitement les effets dévastateurs du passage chez l’homme d’un virus animal depuis que les chasseurs cueilleurs se sont sédentarisés à proximité de leurs élevages. La majorité de nos épidémies actuelles semblant d’ailleurs issues de leur « pentade de Pandore »[1] : bœuf, mouton, chèvre, porc et chien, alors devenus domestiques.
Pour Fatih Birol, Directeur exécutif de l’AIE, cette crise peut en révéler une autre, d’autant plus grave qu’elle doit être envisagée de façon simultanée : celle de la sécurité électrique.
Mais on peut regretter l’absence d’une vision à long terme de la communauté internationale sur la façon de gérer une telle crise qui semble l’avoir prise au dépourvu. En effet, on connaît parfaitement les effets dévastateurs du passage chez l’homme d’un virus animal depuis que les chasseurs cueilleurs se sont sédentarisés à proximité de leurs élevages. La majorité de nos épidémies actuelles semblant d’ailleurs issues de leur « pentade de Pandore »[1] : bœuf, mouton, chèvre, porc et chien, alors devenus domestiques.
Pour Fatih Birol, Directeur exécutif de l’AIE, cette crise peut en révéler une autre, d’autant plus grave qu’elle doit être envisagée de façon simultanée : celle de la sécurité électrique.